Siren est ce genre de personne incompréhensible, complexe et simple à la fois. Vous croirez sûrement la connaître et être proche d'elle au bout d'un petit moment, mais détrompez-vous. A ses yeux, les autres personnes sur terre ne servent qu'à être manipulées, qu'à s'amuser. Les humains et les animaux sont un simple divertissement pour elle. Ce que vous pourrez considérer comme un égo surdimmensioné est en faîte une simple réalité, une façon d'être malgré elle, inconsciemment. Evidemment, Siren paraîtra sûrement gentille, adorable et douce au début. Mais vous remarquerez vite que ce n'est qu'un masque, une des nombreuses indentités qu'elle se donne. Elle deviendra vite froide, cruelle, déconcertante si vous cherchez à la connaître mieux. Traître, incohérente, au final, elle n'a rien pour être aimée. Mais elle ne s'en occupe pas. Sûrement car elle n'a pas la notion de l'attachement, l'affection.

On pourrait croire que -ce que vous appelez "sa folie" l'affaiblit, qu'elle souffre de tout son être de par cette solitude constante. Mais au contraire, sa distance par rapport aux autres est une force, une force sans limites. Ressentir quelque chose pour quelqu'un lui est inconnu, et c'est ce qui lui permet d'être sans pitié. Aussi, votre première impression d'elle vous fera voir une fillette, innocente et faible, mignonne et innoffensive. Mais cette image cache une force intérieur et une détermination incroyable. Son point faible ? Elle-même. La vraie Siren, celle qui se cache, cherche à la faire souffrir, à la soumettre à ses volontés. On pourrait qualifier ça d'auto-desctruction, mais il ne faut jamais oublier que la Siren extérieure est fausse, inexistante. Ce n'est qu'une apparence.

En quelques mots, Siren est insaisissable. Chaque impression que vous aurez sera sûrement fausse, et il serait peut-être mieux pour vous de ne pas chercher à la comprendre, au risque de tomber dans son piège. Oui, Siren porte bien son prénom. Elle chante sa gentillesse, murmure son affection inexistante. Et si vous vous jettez à l'eau, si vous tentez de l'attraper.. Elle sera sans pitié, et fera de vous son jouet, son divertissemment.

Siren est enfermée dans son monde, son univers, prisonnière de sa propre personne. Vous n'aurez l'occasion de rencontrer que la Siren fausse, celle qu'elle invente inconsciemment, celle aux multiples facettes. Mais restez sur vos gardes. La vraie Siren n'est jamais loin. Au plus profond de ses entrailles, elle ronge le peu de lucidité qu'il lui reste, hante ce cadavre excentrique. On peut même parfois sentir sa présence, lourde et cruelle.

Au fond de ses iris, l'eau danse doucement, formant de discrètes vagues, s'éclipsant en un bâtement de cils. Le liquide qui s'échappe de ses blessures est limpide, inhabituel.. Oui, le pouvoir de Siren n'est pas seulement dans ses capacités. Il est en elle, dans ses veines, dans ses gestes, dans son regard. Maîtriser l'eau. Enfin, maîtriser est un bien grand mot. Elle s'amuse beaucoup plus avec qu'elle ne s'en sert utilement. D'un regard, elle déchaîne les océans, d'une carresse, elle fait naître l'eau sous ses doigts. Sa principale faiblesse avec ce pouvoir est sûrement qu'elle n'arrive pas à s'économiser, et se retrouve très souvent.. affaiblie par le manque d'eau dans ses veines. Au final, Siren est liée, enchaînée à ce pouvoir. Il peut l'amener à la mort facilement, comme il la fait vivre. Il est une source d'énergie comme de faiblesse. Et il faut l'avouer, ce n'est pas l'élement le plus facile à gérer, de par sa difficulté à blesser les adversaires.
Siren est comme une enfant face à un nouveau jouet avec son pouvoir, à part qu'elle le traîne depuis sa naissance. Elle s'en amuse maladroitement, le possède plus que quiconque, et pourtant, elle n'a jamais réfléchi au mécanisme, à la manière dont elle doit s'en servir. Ses connaissances à propos de la maîtrise de l'eau sont donc au final peu nombreuses, mais elle s'en contente, et ne montre pas de particulier enthousiasme au fait d'en apprendre plus. Même si, au plus profond d'elle, elle rêve de le maîtriser avec une perfection quasi-inhumaine..
Siren est particulièrement attachée à son pouvoir. Non pas car il est indispensable, mais car il est la seule chose qui la suivie depuis son enfance, sa naissance. C'est la dernière chose qui la lie avec son passé désastreux, devenant à la fois une manière de se remémorer les pires souvenirs et les meilleurs. Mais il ne faut jamais oublier qu'il lui permet de vivre, de faire battre son coeur et d'ouvrir les yeux tous les matins.

Elle ferme ses yeux de toutes ses forces, porte sa main à sa bouche entrouverte. Ses pensées s'entremêlent, elle perd l'équilibre, titube. La Terre se déchire sous ses pieds, elle tombe, tombe tellement bas. Et, délicatement, un murmure lui caresse la joue, lui susurre qu'elle est enfin là. Et ses yeux, tout doucement, s'ouvrent, découvrent le paysage, ou ce qu'il en reste.. La première chose que Siren remarque est le sol, sale et froid, sombre et sans doute couvert d'une épaisse couche de poussières, de moisissures et d'herbes folles. Puis son regard se lève vers les murs, hauts et aussi sales que le sol. Ils sont couverts d'éclaboussures de sang. Son visage se fige, et quelque chose lui crie de ne plus bouger. De fermer les yeux, de disparaître. De survivre. L'instinct d'une simple bête, d'un humain la rattrape, et la peur dévore toutes ses pensées. Elle écoute, le silence, la douleur, la mort. Elle reste pendant de longues minutes, ou même de longues heures, figée ainsi, fixant le plafond de bois sombre et rongé par les termites. Puis elle sursaute, reprend conscience de la situation, et tourne brutalement la tête vers sa droite. Les filets de lumière qui arrivent de la petite fenêtre aux carreaux opaques éblouissent Siren. Elle cligne des yeux plusieurs fois, tente de se lever, pose une main sur le sol. Mais ce n'est ni la moisissure, ni la poussière qu'elle touche. C'est une chose liquide, visqueuse. Immédiatement, elle retire sa main, la fixe.. Il y a un problème. Quelque chose cloche. Elle n'est pas seule.
Dans la pénombre, une forme noire gît au sol, immobile. L'innocence et la curiosité de Siren la pousse à aller voir, et d'une traite, elle se lève, essuyant sa main couverte de ce liquide étrange sur sa robe. Mais très rapidement, la forme est plus distincte, et c'est une fois à ses pieds que Siren peut très bien reconnaître ce qu'elle voit. Les fins cheveux noirs et soyeux, attachés dans un chignon, ce corps maigre, trop maigre. Ce yukata aux motifs fleuris, tâché de sang, sûrement trop ouvert, dévoilant une partie d'un dos osseux et d'une fesse nue. A la tête, une plaie, pourrie, dont le sang, sec, a collé quelques mèches de cheveux. Un filet de sang coulé d'une oreille.
"Maman ? Maman, tu dors ?"
Tout se bouscule à nouveau, le sol se fige, encore. Tout se répète. Les maux de têtes, la mélodie du silence, le vent. L'inconscience. Ses yeux emplis d'océans s'ouvrent délicatement. La pièce dans laquelle elle apparaît est toujours aussi sale, négligée. Mais cette fois, il y a quelques meubles. Des lits. Un dortoir. Des enfants pleurent, d'autres tentent de soigner les blessures de plus jeunes. Ils ont des pouvoirs, mais n'ont aucune énergie, aucune force. Ils sont faibles, malades. Siren se fait bousculer, pousser. Une soudaine agitation secoue tout. Elle tombe contre quelque chose de froid. Le rebord métallique d'un lit, d'après ce qu'elle réussi à voir, avant de sombrer dans un profond sommeil, une euphorie douloureuse. Elle cligne des yeux, mais n'apercevant que quelques formes floues bouger doucement, robotiquement, elle se résolue à les fermer. Fermer les yeux, disparaître. Survivre. Ou mourir ? La fatigue la gagne, et ne se souçiant plus de rien, elle s'endort, sombre, plonge dans un océan de tendresse glaciale. Plus rien n'a d'importance. La vie est finie après tout. Elle a besoin de se reposer. Mais quelque chose la trouble, l'en empêche. On la secoue, tente de la faire revenir en Enfer. Elle n'ouvre qu'à demi ses yeux, avec beaucoup de difficulté, et apperçoit un homme qui tente de la prendre dans ses bras. "On va t'ammener autrepart. A un endroit bien. Viens !" Elle se laisse tirer, se rendort. Tout s'est passé vite. Beaucoup trop vite.
Siren ? Siren, tu dors ?

La mère de Siren est morte. Trop tôt, beaucoup trop tôt. Son père lui a toujours été inconnu. C'est sûrement ce manque constant d'amour et d'affection qui a du désactiver l'option sentiments, chez Siren. Après la découverte du corps de sa mère, la jeune fille a été emmenée par le clan, dans le but d'être utilisée comme simple cobaye. Comme tous les autres enfants de sa génération. Siren s'y est encore plus effacée, ne devenant plus que le pantin du clan. Se battre ? Se révolter ? Essayer ? Elle ne vous répondrait qu'une chose. "Pourquoi ?" A quoi bon ? Et pourtant, elle fait partie de ces enfants sauvés, amenés dans l'école, le refuge. Depuis, elle y vit, tente doucement d'oublier son passé, ses blessures..

COUCOUUUUUU euh. enfin. ouais. BREF ! Donc euh, déjà, j'le dis direct parce que j'ai tendance à l'oublier après, bah mon pseudo est Siren*. \o/ OUI, COMPLETEMENT DIFFERENT DU PRENOM DE MA SIREN HEIN. Enfin bref, j'ai un certain âge ! *sors loin* Non je plaisante. Enfin, euh, OUI j'ai un âge. Bah j'ai 13 ans hein, et bah euh...
BON BREF. A part ça.. Euh.. J'AI DECOUVERT ICI GRACE A JIIIIN Enfin.. JIII MERCI A TOI 8D (ce prestige, avoir une dédicasse dans MA présentation. De rien. ) 'Tain ils sont jouissifs les smileys ici ! .. Sinon. JE SAIS PLUS CE QU'IL FALLAIT DIRE ICI ALORS FUCK IT, JE DIS CE QUE JE VEUX ! J'aime la salade verte. Et aujourd'hui, j'm'en suis fait pour la premier fois de la vie. :tortue: Puis sinon je sais pas faire des pâtes. Et puis j'aime bien la domination. et j'aime bien les mots FOURBE et SOURNOIS. Je vénère le fairy-kei-isme. Je suis ce qu'on appelle une kikoo-jap, aussi (kyaaah trop kawaii ce smiley : ) Et puis je vénère Lana Del Rey, depuis un petit bout de temps, et les sirènes. C'est pas de là que vient le prénom Siren (*______________* ), enfin peut-être que si j'sais plus xD Bref j'avais jamais vu ça comme prénom mais c'est devenu LE prénom.
pour ce qui est de mon perso, Siren.. C'est.. Une longue histoire. Je tiens à en parler hein o/ En faîte, depuis longtemps avec ma meilleure amie, on a chacune eu un coup de coeur pour une personne (Hirari Ikeda dans mon cas *__* qui n'est pas une célébrité, mais c'est un peu la reine d'Harajuku ). J'ai looongtemps élaboré ce personnage de "Siren", avec ce prénom DEFINI, officiel, et cet ava, donc voilà, ce perso me tient vraiment à coeur et voilà blbl
Et sinon le mot de passe c'est Jae est passé par là, yay o/ Et voilà euh.. J'ai sûrement oublié des trucs qu'il fallait dire mais c'est.. pas grave hein \o/.
Et voilà je retourne finir ma présentation, fight à moi même ! *sors*